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Qu’est-ce que la Taxifoline ?

Introduction

Au milieu des années 1950, des scientifiques ont extrait et décrit pour la première fois la taxifoline (ou dihydroquercétine), qui est un flavonoïde puissant extrait de l’écorce du mélèze de Sibérie, un analogue de la quercétine ou de la rutine, avec des propriétés différentes.
Le poids moléculaire de la taxifoline est de 304,25, et la formule moléculaire est : C15 H12O7

Structure de taxifoline : La taxifoline est constituée de deux groupes phényles (A,B) un cycle, qui sont reliés par un cycle hétérocyclique (C) anneau.
Source : Front Pharmacol. 2023; 14:1173855.

Les flavonoïdes sont utilisés en médecine chinoise grâce à leur action antioxydante, anti-inflammatoire et antimicrobienne. Ils renforcent l’élasticité et l’étanchéité des vaisseaux sanguins.

Les flavonoïdes (du nom latin flavus : jaune) sont des composés phénoliques présents dans de nombreux organismes végétaux. Ils ont été isolés en 1814 par le scientifique E. Chevreul mais n’ont été réellement découverts qu’en 1936, pratiquement par hasard, par le scientifique Albert Szent-Györgyi (Prix Nobel Hongrois), qui a vanté leurs influences pour diminuer la perméabilité des vaisseaux sanguins.

Dihydroquercétine ou DHQ – Protecteur capillaire

La taxifoline exerce une activité antioxydante beaucoup plus puissante que celle de la majorité des flavonoïdes, elle renforce les capillaires affaiblis tout en diminuant leur perméabilité (le nombre et la taille des pores dans les parois).

De plus, la taxifoline est un antiagrégant plaquettaire, ce qui signifie qu’elle empêche les plaquettes sanguines de s’agréger et permet ainsi d’éviter la formation de caillots. Sa synergie spécifique avec la vitamine C en fait un des anti-inflammatoires naturels les plus appréciés. En France, il n’y a pas d’allégations autorisées. Néanmoins on retrouve plus de 600 études effectuées en Russie et plus de 800 articles sur Pubmed.gov.

Les études menées en Russie

La plupart des recherches et études sur la taxifoline ont été conduites à l’Institut de médecine de l’aviation et de l’espace, au collège médical de l’armée (appelé ensuite S.M.-Kirov), à l’hôpital central militaire (appelé ensuite N.M.-Burdenko), au 6e hôpital central militaire et à l’Institut du cerveau de l’académie russe des sciences.

Ces études ont notamment mis en évidence que la taxifoline :

  • Est un très puissant antioxydant avec une activité très supérieure à celle de la vitamine E ou des caroténoïdes ;
  • Diminue la viscosité du sang ;
  • Améliore la microcirculation au niveau des capillaires ;
  • Abaisse les niveaux sériques et hépatiques de lipides et de cholestérol ;
  • Protège le cerveau et les cellules nerveuses ;
  • Inhibe l’expression d’enzymes provoquant l’inflammation ;
  • Active le système immunitaire humain, en mobilisant les défenses de l’organisme ;
  • Ralentit le processus de vieillissement ;
  • Prévient le développement de diverses pathologies, et dans le cas de maladies existantes, modifie l’évolution de la maladie de manière positive ;
  • A un effet désintoxiquant, anti-œdémateux ;
  • Favorise la régénération et a une action capillaire protectrice ;
  • Renforce les parois des vaisseaux sanguins ;
  • Inhibe l’oxydation des lipides entrant dans la composition des membranes cellulaires, et prévient le développement de diverses maladies et le vieillissement prématuré des cellules du corps humain.

De plus, ces études sur la taxifoline démontrent qu’elle empêche les globules blancs inflammatoires d’attaquer des régions vulnérables du cerveau et d’y adhérer, assurant ainsi une neuro-protection essentielle contre les lésions oxydatives qui se produisent lorsque le cerveau ne reçoit pas suffisamment de sang et d’oxygène.

La taxifoline aujourd’hui

La physiologie moderne accorde très peu d’attention aux capillaires, alors que c’est dans cette partie du système cardiovasculaire que se déroulent les processus les plus importants de la circulation sanguine et du métabolisme. L’ensemble du système circulatoire complexe, comprenant le cœur, les vaisseaux, ainsi que les mécanismes de régulation nerveuse et endocrinienne, est conçu pour acheminer vers les capillaires le sang nécessaire à la vie des cellules et des tissus.

Grâce au réseau capillaire, l’oxygène et tous les nutriments nécessaires arrivent avec le sang à chaque cellule du corps et le dioxyde de carbone et les déchets sont éliminés. Cet échange a lieu à la frontière de la cellule et du capillaire et tant qu’il est normal, le corps reste sain et jeune. C’est pourquoi la taxifoline peut vous aider.

Signes initiaux de dysfonctionnement capillaire

  • Le flux sanguin capillaire est diminué, stase veineuse, couperose, varicosités ;
  • Fatigue, irritabilité ;
  • Maux de tête, migraines ;
  • Troubles de la mémoire ;
  • Faiblesse, fatigue ;
  • Mains et pieds frileux ;
  • Hypersensibilité à la lumière, fatigue des yeux, yeux secs.

Les différents facteurs de risque 

 Il existe de nombreux facteurs de risque qui affectent la santé de nos capillaires et de notre système cardiovasculaire en général. Prenez n’importe quelle cellule de notre corps, sa santé dépendra toujours du bon fonctionnement des capillaires qui l’alimentent.

Facteurs de risque chez les fumeurs 

La nicotine, lorsqu’elle est ingérée, provoque une constriction des capillaires. Le cœur commence à se contracter plus rapidement. Le nombre de battements augmente. Une tachycardie se produit.
Si vous fumez systématiquement, les capillaires et les vaisseaux du cœur sont en permanence rétrécis. Cela réduit le flux d’oxygène vers le muscle cardiaque et entraîne sa fatigue chronique. Les capillaires subissent un spasme et s’usent plus rapidement, des anomalies cardiovasculaires se développent, notamment une ischémie cardiaque.
Fumer accélère aussi la formation des plaques de cholestérol.

Les goudrons et autres substances toxiques contenus dans les cigarettes et le tabac interagissent avec les plaquettes pour former des caillots sanguins et affectent l’élasticité des parois capillaires. Cela augmente le risque d’obstruction des vaisseaux sanguins et, par conséquent, de développer un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral.

Facteurs de risque chez les personnes consommant trop de sel et régulièrement

L’augmentation de la pression artérielle est associée au rétrécissement des artères périphériques, qui crée une forte résistance à la circulation du sang artériel. Le cœur doit fournir un effort important pour que le sang riche en oxygène et en autres nutriments atteigne les organes.
Des modifications de la lumière des vaisseaux sanguins peuvent se produire en raison d’une libération d’adrénaline, qui se produit sous l’influence de divers facteurs – tension psycho-émotionnelle et physique, abus d’alcool, tabagisme, consommation excessive d’aliments salés.

Facteurs de risque chez les hypertendus (HTA)

Les vaisseaux et les capillaires sont les premiers à souffrir de l’augmentation de la pression artérielle : la couche musculaire qui recouvre les vaisseaux s’amincit, elle est remplacée par du tissu conjonctif. La paroi vasculaire devient moins élastique et plus dense. En outre, l’augmentation constante de la pression artérielle entraîne une détérioration de la couche interne du capillaire (endothélium) et l’apparition de plaques d’athérome.

Facteurs de risque et obésité

Le surpoids entraîne une restructuration de l’approvisionnement en sang du corps. Le nombre de vaisseaux et de capillaires destinés à alimenter les tissus adipeux augmente. Cela entraîne une charge double pour le cœur, qui se met à pomper plus de sang.

Facteurs de risque liés au stress

Notre corps ne fonctionne pas correctement. C’est particulièrement vrai pour le système cardiovasculaire. Les périodes prolongées de stress entraînent la production d’une hormone : l’adrénaline, qui affecte l’adhésion des globules rouges dans les capillaires et favorise la formation de thrombus.
L’excès d’adrénaline est transformé en substance adrénochrome (C9H9NO3 – pigment bleu issu de l’oxydation de l’adrénaline). Ayant les propriétés des radicaux libres, il affecte les parois internes des artères et provoque le développement de l’athérosclérose.
Le stress stimule l’excrétion du magnésium. L’équilibre entre le calcium et le magnésium étant très important pour le fonctionnement normal du muscle cardiaque (le calcium stimule la contraction et le magnésium la relaxation).

Facteurs de risque liés à l’âge

Vers l’âge de 40 ans, les capillaires humains commencent à subir des changements. La perméabilité et l’élasticité de la paroi vasculaire diminuent, la lumière et le nombre de capillaires fonctionnels aussi. Il est donc très important de maintenir un système cardiovasculaire sain et de prêter une attention particulière aux capillaires.

Dans le lit vasculaire, commencent à se développer des changements athérosclérotiques (plaques de cholestérol). Cela provoque une augmentation de la pression artérielle, des troubles du rythme cardiaque et une insuffisance cardiaque.

Dihydroquercétine et les différents axes.
Que démontrent les études menées en Russie ?

Axe cerveau : Normalise la circulation cérébrale. Réduit le risque de troubles fonctionnels du cerveau. Améliore la mémoire, l’attention, prolonge la période de vie socialement active. Augmente les performances mentales. Recommandé pour l’inclusion dans les programmes de réadaptation après un accident vasculaire cérébral.

Axe veines et vaisseaux : Rétablit la circulation sanguine dans tout le corps, renforce les parois des vaisseaux sanguins, réduit la perméabilité des capillaires. Améliore la rhéologie du sang, réduit la congestion des vaisseaux, notamment du système veineux. Recommandé pour l’athérosclérose et l’insuffisance veineuse.

Axe Cœur : Améliore l’état fonctionnel du système cardiovasculaire, augmente l’endurance physique du myocarde. Prévient les pics de tension artérielle, réduit le cholestérol. Recommandé pour l’inclusion dans les programmes de réhabilitation après une crise cardiaque.

Axe poumons : Restaure le travail des alvéoles pulmonaires. Il redresse les poumons, augmente leur volume, les nettoie des “dépôts de tabac”. Améliore les indices de perméabilité bronchique, réduit le gonflement des bronches. Améliore l’expectoration des crachats. Recommandé dans le traitement de la maladie pulmonaire obstructive chronique et de la toux du fumeur.

Précautions d’emploi

Une complémentation peut s’effectuer à partir de l’âge de 15 ans. Les femmes enceintes ou qui allaitent doivent toujours prendre conseil auprès de leur médecin, ainsi que les patients sous traitement anticoagulant. Dans ces derniers cas, ces patients auront plutôt recours à une alimentation quotidienne bio riche en flavonoïdes ou bien prendre la taxifoline avec la surveillance de son médecin traitant.

Apports nutritionnels alimentaires

De nombreux végétaux sont une source de flavonoïdes, ils doivent faire partie de l’alimentation au quotidien : fruits frais bio, légumes bio crus et cuits, jus de fruits et légumes frais bio fraichement extraits avec un extracteur de jus.
Une consommation occasionnelle de vin rouge produit en biodynamie sans adjonction de sulfites, peut être intégrée en mangeant (jamais dans un estomac vide afin de préserver le foie).

Quelques tasses de thé vert bio et de thé vert matcha bio en première partie de journée et du chocolat noir bio à 70% de cacao à 17 heures.

Divisions et sources des flavonoïdes

  • Flavones : divisées en tricétine, apigénine et lutéoline.
  • Flavonols : divisés en quercétine, myricétine et kaempférol.
  • Flavandiols : divisés en leucocyanidine, leucopélargonidine et leucodelphinidine.
  • Chalcones : stimulent la pollinisation.
  • Anthocyanines : pigments hydrosolubles des cellules responsables de la coloration.
  • Tannins condensés : anthocyanidines présentes dans les plantes de thé.
  • Aurones : responsables de la pigmentation de diverses plantes.
  • Dihydroflavonols : divisés en dihydromyricétine, dihydroquercétine et dihydrokampférol.
  • Flavanones : forte concentration dans les agrumes tels que les oranges.

La quercétine : retrouvée dans les oignons rouges, les câpres, les pommes, les petites baies, les cerises, les brocolis, les agrumes… 
Les catéchines : thé vert, thé noir, vin rouge… 
La rutine : sarrasin, sophora du Japon, eucalyptus, ginkgo biloba, raisin, cerises, mûres… 
Les citroflavonoïdes : concentrés dans les agrumes et surtout les écorces. Conservez-les afin de les intégrer dans des préparations culinaires…. 
Les anthocyanines : dans les mûres, les cerises, framboises, prunes, myrtilles, aubergines, raisin, vin… 
Les flavonediols : cacahuète, cacao et fève de cacao cru, noix de cajou, raisin… 
Les isoflavones : soja (génistéine, génistine, daidzénine, glycéitine).

AXES PROMETTEURS :

1/ Effets thérapeutiques de la taxifoline sur la régulation du métabolisme du glucose :

“La condition connue sous le nom de rétinopathie diabétique (RD) est l’une des principales causes de cécité chez les personnes atteintes de diabète sucré, et la taxifoline peut être bénéfique dans le traitement de la rétinopathie diabétique”. Etude Septembre 2019 :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30897968/
“Effet de la taxifoline sur le développement de la rétinopathie chez les rats diabétiques induits par l’alloxane”).
Conclusion : Les résultats expérimentaux suggèrent que la taxifoline peut être bénéfique dans le traitement de la RD (effet protecteur de la taxifoline sur la rétinopathie diabétique d’un point de vue biochimique et histopathologique).

2/ Hyperactivité du système rénine-angiotensine-aldostérone (RAAS) :

“La taxifoline peut inhiber l’hyperactivité du système rénine-angiotensine-aldostérone (RAAS) et améliorer le métabolisme du glucose et le métabolisme eau-sel chez les rats atteints du syndrome métabolique grâce à son activité sur la voie de signalisation PI3K/AKT (RAAS)”. Etude de décembre 2020 :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33157091/
Importance : Taxifoline peut améliorer l’homéostasie du glucose, inhiber la suractivation de RAAS et réduire la réponse inflammatoire par la voie de signalisation PI3K/AKT [ L’activation de la phosphoinositide 3- kinase phosphoryle et active la protéine kinase B (AKT)].

Etudes publiées : mise à jour 03 septembre 2024

Etudes Covid et SARS-Cov2 :
Il est de plus en plus évident que la taxifoline joue un rôle déterminant dans les maladies respiratoires. De nombreuses études publiées le confirment.
Elle inhibe l’inflammation causée par une lésion pulmonaire aiguë.

  • Identification guidée computationnelle d’un flavonoïde d’agrumes comme inhibiteur potentiel de la protéase principale du SRAS-CoV-2 : Août 2021.
    Conclusion : cette étude suggère que la taxifoline pourrait être un inhibiteur potentiel contre la protéase principale du SRAS-CoV-2 et peut être analysée plus en détail par des expériences in vitro et in vivo pour la gestion de la pandémie en cours.
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33236176/
  • Naturally Available Flavonoid Aglycones as Potential Antiviral Drug Candidats against SARS-CoV-2. Octobre 2021
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34770969/
  • Une réponse immunitaire altérée médiée par la prostaglandine E2 favorise une maladie grave COVID-19 : Août 2021.
    Conclusion : le SRAS-CoV-2, le sexe masculin, la vieillesse et le style de vie sédentaire augmentent les niveaux de PGE2, ce qui peut réduire la défense antivirale précoce ainsi que le développement de l’immunité favorisant les cours de maladies graves et les infections multiples. L’exercice régulier et le traitement par Taxifoline peuvent réduire ces risques et prévenir les maladies graves. 
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34347801/

Recherches conseillées

(Voir littérature sur internet) Selon le Dr Salmanoff*, la vitesse de vieillissement d’un individu est en rapport direct avec l’assèchement de son réseau capillaire. Le Dr Salmanoff a inventé des bains chauds à la térébenthine capables de réveiller par voie physiologique, l’ensemble des capillaires en stase ou en obstruction partielle voire totale.

Salmanoff écrit : “La question n’est pas de trouver un traitement pour une maladie bien définie, mais de restaurer le corps endommagé du patient, indépendamment du diagnostic. La raison de ces anomalies fonctionnelles réside surtout dans les capillaires. Les traitements actuels négligent l’importance du travail des capillaires où 80% du sang circule pour approvisionner dans la profondeur, les organes et les tissus. La conservation et le bon fonctionnement des capillaires doit être la base de la médecine future“.

Dr. Salmanoff était convaincu qu’une blessure au niveau de la physiologie capillaire était l’un des facteurs les plus importants dans le développement de toute maladie.

*Alexandre Salmanoff, (1875-1964) médecin diplômé des Facultés de Moscou, Berlin et Pavie. Ancien directeur de toutes les villes thermales d’U.R.S.S., il fut aussi le médecin personnel de Lénine. Il fut le plus jeune professeur de médecine d’Allemagne, puis devint membre extraordinaire de l’Académie Royale de médecine d’Italie avant de devenir le père de la capillothérapie. De grands hôpitaux et centres médicaux à Rome, Paris et Berlin ont utilisé avec succès, pendant de nombreuses années la capillothérapie du Dr Salmanoff.

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